L'histoire sans fin

captain-oméga a écrit:
le but de l'histoire sans fin consiste a crée une histoire qui sorte de l'ordinaire ,il ne doit pas y avoir de vulgarité mais toutes les phrases peuvent être mise (normale ,loufoque ,comique ,il peux y avoir également quelque mot hot ,mais que cela soit raisonnable et non répétitif )chaque joueur devras écrire une phrase de 10 mots max par post en fonction des phrases déjà mise précédemment ,voici d'ailleurs un ex :

joueur 1 : Par un beau matin d'été, une jeune femme du nom ....
joueur 2 : de katsumi se prélassait au soleil en......
etc .
bien sur vous devrez les mettre a la suite et recommencez a la ligne si la phrase se termine par 1 point (3 points signifie que la phrase n'est pas fini ,1 seul point ,vous devrez recommencer un nouvelle phrase mais qui devra bien-sur toujours être en rapport avec l'histoire .

Comme vous pouvez le remarqué il a que 10 mots ,pas un de plus et derrière des pointillé signalant que l'histoire n'est pas fini ,le joueur suivant devra rajouté une phrase (n'importe laquelle ) derrière celle déjà mise pour prolongé l'histoire .

Vous verrez ,au fur et a mesure que l'histoire prendra forme ,elle sera intéressante a lire .

A chaque fois que vous voudrez y rajouté une nouvelle phrase faite un copié collé de la précédente avant de la continué cela sera beaucoup plus agréable a lire comme ça .

voila j'espère que mon explication est compréhensible et que vous voyez ce que je veux dire .

cordialement .

votre chef .

juste un déplacement du topic

Je commence alors:

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez".

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des ....






( a ne pas mettre dans la suite de l'histoire ce qui suis ).
il me semble que vous ne devais pas savoir lire ou comprendre
car je n'ais pas dis qu'il fallait faire des phrases complete mais de seulement 10 mots pas un de plus c'est le prochain posteur qui doit rajouté la suite et commencé une nouvelle phrase si il lui reste quelque mot .il peut commencé une nouvelle phrase ( les mots de 2 ou 3 lettres ne compte plus et donc ne sont plus concideré comme un mot .)
.j'espere que cette fois vous avez compris

ah ooui fradrais plus de smiley aussi a droite pas dans l'histoire ^^

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il ...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme ...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle et ses tétons commencèrent a pointer au travers de sa robe. Mais l'homme au chapeau se rendit compte...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle et ses tétons commencèrent a pointer au travers de sa robe. Mais l'homme au chapeau se rendit compte que c'était en fait un travesti qui s'était perdu dans...

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle et ses tétons commencèrent a pointer au travers de sa robe. Mais l'homme au chapeau se rendit compte que c'était en fait un travesti qui s'était perdu dans ce petit et chouette village de travestiville.

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle et ses tétons commencèrent a pointer au travers de sa robe. Mais l'homme au chapeau se rendit compte que c'était en fait un travesti qui s'était perdu dans ce petit et chouette village de travestiville.

Le travelo d'une grave voix dit

_MINCE JE SUIS DECOUVERT EN VRAI MON NOM EST ZIZI LA...


(super l'histoire plier pour le travelo attention de bien mettre mini 10 mot le la etc ne compte pas!!!,j'aime beaucoup ce jeu )

Il était une fois, une jeune demoiselle qui vivait à l'abri du regard de tous.
tous les matins elle se levait, s'habillait et se coiffait pour aller au marché où elle vendait c'est coquillages. Ce jour là, sur le chemin du marché, elle croisa un jeune homme, il était vêtu d'une grande veste et d'un chapeau, il lui dit:"Bonjour, ravissante demoiselle dont le parfum me rappel le printemps. si vous le permettez je souhaiterais vous accompagnez". La jeune femme, un peu effarouchée au début, finie par accepter cette invitation un peu à contre coeur.
Sur le chemin ils entamèrent une discution des plus curieuses. L'homme voulais en savoir toujours plus sur la vie et les connaissances de cette jeune femme.
Elle trouva cela très indiscret mais lui répondit malgré tout. L'homme ne semblait pas vouloir s'en aller. Il était bien déterminé à connaître son adresse. Mais la demoiselle ayant reçue une bonne éducation dans le couvant où elle fut élevée tue cette information bien sûr.
Il chercha donc a obtenir son numero de téléphone mais à cette époque il n'existait pas encore.
Cela rendit la demoiselle très suspicieuse car elle ne comprenais pas et trouvais ce jeune homme étrange.
ET par prudence decida de mettre court a cette invitation des savonnettes ce mire a tomber du ciel l'homme hurla oh non encore une attaque de monsieur propre il va tout salir pour me faire nettoyer comme il est jaloux de ma relation avec vous et sachant le nombre de draps que nous allons salir.
Un indien arriva, brandit sa hache et cria du haut de son cheval brun
_HUG kowal piloumati chi kaotina ta
Les trois compères ce regardèrent étonné.

- "j'essayai un nouveau dialecte, je trouvais que sa sonnait bien" dit l'indien.

La femme tomba folle amoureuse de cet indien a la peau sombre,ces yeux clignaient malgrès elle et ses tétons commencèrent a pointer au travers de sa robe. Mais l'homme au chapeau se rendit compte que c'était en fait un travesti qui s'était perdu dans ce petit et chouette village de travestiville.

Le travelo d'une grave voix dit

_MINCE JE SUIS DECOUVERT EN VRAI MON NOM EST ZIZI LA BRAGUETTE OUVERTE .

L ' indien pris son tomawack et déscendis de cheval pour ...

pour une histoire loufoque elle l'ait